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"Poem’anifeste en contexte francais "

"Poem’anifesto in French Context "

100 VERSE MANIFESTO 

– MANIFESTE DE 100 VERS

 SEPTEMBRE 2016 

– Poème originel en français ; auto-publication ; traduction anglaise à moyen long terme –

Original poem in French ; self-publication ; to be translated, in the medium-to-long term 

Au cœur de la créance

De kystes souvenirs ancrée

– Et arrimée au gré de vents

Ne colportant de légendaire que

Leur propension à toujours plus avant

En l’estuaire funeste

De la nonchalance palimpseste

S’évanouir – se dessine

Inanimée l’unanime

L’esthète agueusie.

 

Estampédante amphicrimne,

Dysphasie boulimique,

A la fatrasie nous destine

La béance de sens

De la dialectique ego-sédentaire

D’une société de satiétés

Plus avant s’ensablant en la dune sans fond

De l’agios-graphique phalanstère de

L’absconse héraldique

De la sphère d’un art dont on a,

Hérétiques,

Le fronton percé au moyen sans fins

D’une mèche des cheveux d’une vérité

« Partiale, passionnée » ;

Par essence martiale,

Partielle,

Empoisonnée.

 

Chevalière du désastre des lettres

Et Première Dauphine d’un roi sommeil

A la voracité sans pareille,

La palissade de l’aître

De quelque palatiale véracité

En laquelle l’on prend soin d’emprisonner

Les quatre coins d’un globe

Dont on éponge les lèvres de l’orbe gercée

Par le doux billet de fumées sans feu ;

Colonnades sans têtes ni queues dont l’on n’a,

Au fond,

Que faire

 

Du chant du cygne singé

Aux catafalques de papier calque

En évènementiel érigés,

N’a de cesse de nous verser

Au rang des paniers percés

La fantoche cinématique

De l’esthétique du fastoche

D’un foyer où le manque d’éducation

Fut érigé en mondialisation

Sous couvert de démocratisation.

 

 

En effet de serre et tout état de cause

Protozoaire la gnose

De l’ère de l’art par l’étant.

 

Entre ciel et ver,

Dit-agnostique rosaire,

Le cadavre au fond de l’étant.

 

 

Alors, que faire …

 

En cette société de satiétés

Qui de l’artiste, du phylactère,

Au fond n’a que faire …

Que faire …

 

Que faire qui n’ait déjà été

Tu

Lu

Vu

Feint d’être su

.

 

Mais …

Puisqu’il n’est de barrières

Que celles que nous érigeons …

Au fond, que faire … sinon monter la vie à cru ?!

 

Allons ! Transcendons les frontières

De l’existence la vie exigeons !

 

Jaillissement existentiel

Dont l’aspersion ne tache mais révèle

Premières personnes du pluriel

Singulièrement soyons !!

 

 

Sagesse de l’être qui l’étant sublime,

Mû par cette perpétuelle jeunesse

Qui les ismes en isthmes mue,

Plaît à notre Œil le prisme

Qui de la vie les ni extrait

Les particules élémentaires

Nécessaires à la germination

De ces raies d’esprit qui, l’espace-temps d’un µ,

Nous font courir les parsecs

De la cartographie que trop méconnue

De nos âmétagraphies en expansion.

 

De pléthore à myriades

A passer m naîtres de nos vies,

A créer nos Iliades

Gréer nos Valinors

L’Artiste nous convie.

 

Via la plénitude de cet Evidement

Qui plus à l’Est mène la main à ces sphères

Qui n’ont de cesse d’en finir avec l’achèvement,

Phylactère l’Artiste

A la une de notre perception

Fait paraître de l’être la question.

 

Pristhm’Arte-factuelle délect-action,

Plaît à notre Œil le détrompe-l’œil !

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