Fabien Beuchet ベシェ ファビエン 发毕安.柏史 فبین بشه
"Poem’anifeste en contexte francais "
"Poem’anifesto in French Context "
– 100 VERSE MANIFESTO –
– MANIFESTE DE 100 VERS –
– SEPTEMBRE 2016 –
– Poème originel en français ; auto-publication ; traduction anglaise à moyen long terme –
– Original poem in French ; self-publication ; to be translated, in the medium-to-long term –
Au cœur de la créance
De kystes souvenirs ancrée
– Et arrimée au gré de vents
Ne colportant de légendaire que
Leur propension à toujours plus avant
En l’estuaire funeste
De la nonchalance palimpseste
S’évanouir – se dessine
Inanimée l’unanime
L’esthète agueusie.
Estampédante amphicrimne,
Dysphasie boulimique,
A la fatrasie nous destine
La béance de sens
De la dialectique ego-sédentaire
D’une société de satiétés
Plus avant s’ensablant en la dune sans fond
De l’agios-graphique phalanstère de
L’absconse héraldique
De la sphère d’un art dont on a,
Hérétiques,
Le fronton percé au moyen sans fins
D’une mèche des cheveux d’une vérité
« Partiale, passionnée » ;
Par essence martiale,
Partielle,
Empoisonnée.
Chevalière du désastre des lettres
Et Première Dauphine d’un roi sommeil
A la voracité sans pareille,
La palissade de l’aître
De quelque palatiale véracité
En laquelle l’on prend soin d’emprisonner
Les quatre coins d’un globe
Dont on éponge les lèvres de l’orbe gercée
Par le doux billet de fumées sans feu ;
Colonnades sans têtes ni queues dont l’on n’a,
Au fond,
Que faire
Du chant du cygne singé
Aux catafalques de papier calque
En évènementiel érigés,
N’a de cesse de nous verser
Au rang des paniers percés
La fantoche cinématique
De l’esthétique du fastoche
D’un foyer où le manque d’éducation
Fut érigé en mondialisation
Sous couvert de démocratisation.
En effet de serre et tout état de cause
Protozoaire la gnose
De l’ère de l’art par l’étant.
Entre ciel et ver,
Dit-agnostique rosaire,
Le cadavre au fond de l’étant.
Alors, que faire …
En cette société de satiétés
Qui de l’artiste, du phylactère,
Au fond n’a que faire …
Que faire …
Que faire qui n’ait déjà été
Tu
Lu
Vu
Feint d’être su
.
Mais …
Puisqu’il n’est de barrières
Que celles que nous érigeons …
Au fond, que faire … sinon monter la vie à cru ?!
Allons ! Transcendons les frontières
De l’existence la vie exigeons !
Jaillissement existentiel
Dont l’aspersion ne tache mais révèle
Premières personnes du pluriel
Singulièrement soyons !!
Sagesse de l’être qui l’étant sublime,
Mû par cette perpétuelle jeunesse
Qui les ismes en isthmes mue,
Plaît à notre Œil le prisme
Qui de la vie les ni extrait
Les particules élémentaires
Nécessaires à la germination
De ces raies d’esprit qui, l’espace-temps d’un µ,
Nous font courir les parsecs
De la cartographie que trop méconnue
De nos âmétagraphies en expansion.
De pléthore à myriades
A passer m naîtres de nos vies,
A créer nos Iliades
Gréer nos Valinors
L’Artiste nous convie.
Via la plénitude de cet Evidement
Qui plus à l’Est mène la main à ces sphères
Qui n’ont de cesse d’en finir avec l’achèvement,
Phylactère l’Artiste
A la une de notre perception
Fait paraître de l’être la question.
Pristhm’Arte-factuelle délect-action,
Plaît à notre Œil le détrompe-l’œil !